En 2025, les TPE et PME représentent plus de 99 % du tissu économique français, mais elles concentrent aussi près de 45 % des cyberattaques recensées selon l’Observatoire de la cybersécurité ANSSI 2024.
Et pourtant, seules 26 % d’entre elles disposent d’une politique de cybersécurité structurée, et moins de 15 % d’un responsable identifié (étude “Maturité cyber des TPE-PME : encore un cap à franchir”, Cybermalveillance.gouv.fr, 2024).
Ces chiffres traduisent une réalité : les petites entreprises sont en première ligne, mais souvent mal armées.
Alors que les réglementations (NIS2, DORA, RGPD) imposent un cadre de plus en plus strict, comment les dirigeants peuvent-ils évaluer leur maturité et progresser efficacement sans expertise ni budget dédié ?
Près de 60 % des PME déclarent ne pas avoir de budget spécifique à la cybersécurité (Baromètre France Num 2025).
Parmi celles qui investissent, le budget moyen n’excède pas 5 000 € par an, souvent limité à des antivirus ou sauvegardes, sans réelle gouvernance.
Le principal frein : le manque de temps et de compétences internes.
La cybersécurité reste perçue comme un sujet technique, éloigné des priorités commerciales.
💬 “Les dirigeants ont conscience du risque, mais peinent à passer à l’action faute de repères clairs”, souligne le rapport Cybermalveillance.gouv.fr (novembre 2024).
Les audits réalisés auprès des PME révèlent des failles communes :
Ces faiblesses expliquent pourquoi près d’une PME sur deux attaquée dépose le bilan dans l’année (Cybermalveillance.gouv.fr, 2024).
Avant toute action, il faut mesurer sa maturité cyber.
Plusieurs référentiels permettent une première évaluation simplifiée :
Ces outils permettent de positionner son niveau de maturité sur 5 axes clés : gouvernance, technique, sensibilisation, conformité et gestion des risques.
💡 Une TPE qui passe d’un niveau “initial” à “intermédiaire” réduit en moyenne de 60 % sa probabilité d’incident critique (étude ENISA 2024).
Résultat : les efforts sont dispersés, les audits chronophages et les progrès difficiles à démontrer.
Un audit initial, même simplifié, permet d’identifier les priorités.
Les entreprises les plus performantes utilisent des questionnaires de maturité inspirés de l’ANSSI ou d’ISO 27001 pour situer leur niveau et planifier leurs premières actions.
Une bonne gouvernance passe par la centralisation des preuves, politiques et plans d’action.
Cette organisation facilite les audits, les demandes d’assurance cyber et la communication avec les partenaires.
Les KPI les plus efficaces pour les PME :
💡 Une PME qui suit régulièrement ces indicateurs améliore son score de conformité de 30 à 50 % en moins d’un an (Étude PwC Cyber Readiness, 2024).
Former les collaborateurs reste l’action la plus rentable : chaque euro investi dans la formation cyber génère 4 € de retour sur investissement via la réduction d’incidents (IBM Cost of a Data Breach Report 2024).
Chez CompliKey, nous avons conçu une approche pragmatique et accessible pour aider les TPE/PME à structurer leur cybersécurité sans complexité ni jargon.
💬 Les PME utilisant CompliKey constatent en moyenne une hausse de 40 % de leur score de conformité et une réduction de 35 % du temps passé sur les audits internes.
La maturité cybersécurité des PME françaises progresse, mais lentement.
Le manque de ressources et de visibilité reste un frein majeur, pourtant, les outils existent aujourd’hui pour transformer la conformité en atout stratégique.
Avec CompliKey, la cybersécurité devient un projet concret, mesurable et pilotable :
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