Logo Complikey
Accueil
Produits
Normes
Consultants
Tarifs
Blog
Contact
Planifier une démo

CTEM pour PME : réduire votre exposition cyber grâce à une gestion continue avec CompliKey

Par AlexV
Le 17/11/2025

CTEM pour PME : passer de l’audit ponctuel à la réduction continue d’exposition

Pendant des années, la cybersécurité des PME s’est construite autour d’audits ponctuels, souvent réalisés une ou deux fois par an.

Mais en 2025, ce modèle ne suffit plus : les menaces évoluent plus vite que les plans d’action.

📊 Selon le rapport ENISA Threat Landscape 2025, les attaques de type ransomware et DDoS représentent à elles seules plus de 60 % des incidents majeurs.

Le World Economic Forum (2025) observe une hausse de 38 % des attaques visant les prestataires IT et chaînes logistiques, tandis que le temps moyen entre la découverte et l’exploitation d’une vulnérabilité est désormais inférieur à 15 jours.

Face à ce rythme, les entreprises doivent adopter une approche CTEM — Continuous Threat Exposure Management, c’est-à-dire une gestion continue de l’exposition aux menaces.


🧭 CTEM : une approche moderne de la gestion des vulnérabilités

Le CTEM (Continuous Threat Exposure Management) ne se limite pas au “patch management”.

C’est une méthode dynamique qui combine visibilité, priorisation et action continue.

👉 L’objectif : réduire la surface d’attaque réelle, pas seulement détecter des failles.

Cette approche s’appuie sur quatre piliers fondamentaux :

1️⃣ Cartographier les actifs et surfaces d’exposition.

2️⃣ Prioriser les vulnérabilités selon leur exploitation active (CISA KEV, CVSS, contexte interne).

3️⃣ Corriger et mesurer en continu.

4️⃣ Réévaluer mensuellement les progrès et les nouvelles menaces.

💡 Selon Gartner (2025), les entreprises ayant adopté une approche CTEM ont réduit leur temps moyen de correction de 58 %, et leur taux d’exposition résiduelle de 42 %.


🧩 Étape 1 : Cartographier les actifs et les surfaces d’attaque

Impossible de protéger ce qu’on ne connaît pas.

La première étape du CTEM consiste à identifier l’ensemble des systèmes exposés, qu’ils soient internes, cloud ou tiers.

📋 Cela inclut :

  1. Les serveurs et applications critiques.
  2. Les terminaux et appareils connectés.
  3. Les dépendances logicielles et prestataires externes.

🔎 Une cartographie claire permet de détecter les angles morts et de prioriser les efforts là où le risque est maximal.

L’ENISA souligne que 72 % des incidents réussis proviennent d’actifs non inventoriés ou mal suivis.


🔥 Étape 2 : Prioriser avec la CISA KEV et le contexte métier

Toutes les vulnérabilités ne se valent pas.

Les organisations qui patchent “tout, tout le temps” perdent du temps et des ressources.

C’est pourquoi la CISA (Cybersecurity & Infrastructure Security Agency) publie la base KEV (Known Exploited Vulnerabilities) — la liste des failles activement exploitées par les cybercriminels.

💡 En croisant cette base avec votre contexte métier (sensibilité des données, exposition publique, criticité opérationnelle), vous pouvez concentrer vos efforts là où ils comptent vraiment.

➡️ Les entreprises qui appliquent cette priorisation réduisent de 70 % le volume de patchs urgents à déployer chaque mois (source : CISA / Gartner 2025).


🔄 Étape 3 : Corriger, mesurer, et réévaluer en continu

Le cœur du CTEM repose sur la boucle corriger → mesurer → réévaluer.

Chaque cycle permet d’identifier les progrès réels et de maintenir la réduction d’exposition dans le temps.

📊 Indicateurs clés à suivre :

  1. MTTR (Mean Time To Remediate) : temps moyen de correction d’une vulnérabilité.
  2. % d’actifs couverts par le patching mensuel.
  3. Taux d’exposition résiduelle.
  4. Nombre de vulnérabilités critiques non traitées à 30 jours.

Selon le WEF 2025, les entreprises qui suivent ces KPI ont un taux d’incidents graves inférieur de 36 % à la moyenne du secteur.


🧠 Étape 4 : Intégrer la gestion CTEM dans la gouvernance cyber

Le CTEM n’est pas qu’un outil technique.

C’est un pilier de la gouvernance cyber, qui doit être intégré dans les comités de pilotage et la conformité.

Cela implique de relier le suivi technique (vulnérabilités, patchs) au plan de traitement des risques et aux indicateurs stratégiques.

Une approche CTEM réussie est transversale : elle implique la DSI, le RSSI, les métiers, et parfois les prestataires externes.


🚀 Comment CompliKey structure votre approche CTEM

CompliKey permet aux PME, ETI et consultants de transformer le CTEM en processus mesurable et gouvernable, sans outils multiples ni tableurs.

🔧 1. Plan de traitement des risques

Chaque vulnérabilité critique identifiée peut être reliée à une action corrective avec :

  1. Responsable désigné,
  2. Date cible de correction,
  3. Statut d’avancement,
  4. Risque résiduel après traitement.

📊 2. Dashboard CTEM

Le tableau de bord de conformité CompliKey affiche :

  1. Les KPI d’exposition résiduelle,
  2. Les écarts de conformité vis-à-vis des cadres NIS2 / ISO 27001.

📁 3. Documentation & preuves

Les corrections techniques, rapports de scan ou inventaires CMDB peuvent être documentés et versionnés directement dans la plateforme, garantissant une traçabilité complète lors des audits.

💡 En moyenne, les organisations ayant intégré leur suivi CTEM dans CompliKey ont observé :

  1. +45 % de rapidité dans le traitement des vulnérabilités critiques,
  2. –30 % d’efforts de reporting audit,
  3. Une visibilité totale sur la posture de sécurité globale.


Logo complikey
COMPLIKEY
LinkedIn
Copyright 2025 CompliKey - Tous droits réservés.